Monsieur le Directeur,
Messieurs les directeurs,
Mesdames, Messieurs,

Nous sommes au terme de ce 38ème congrès national, après trois jours de débats, de travail et d’échanges intenses et importants pour l’avenir de notre mouvement.

Nous exprimons nos vifs remerciements à Monsieur François Cazottes, Directeur, Chef du service du personnel à la direction générale du personnel et de l’administration. Par sa présence à la table ronde et à la clôture de nos travaux, il nous honore et témoigne de son attachement aux valeurs associatives des ASCEE.

Nous remercions vivement la formidable équipe de l’ ASCEE 03, son président, Jean-Christophe Belin et Monsieur Alain Munier, Directeur départemental de l’Équipement de l’Allier et ses collaborateurs pour avoir aidé à l’organisation de ce grand congrès national. Ils font la démonstration des importantes capacités de cette grande famille de l’Équipement, qui sait merveilleusement se mobiliser dans de telles circonstances.

Merci au personnel et à la Direction de l’établissement qui nous accueille ;

Merci à Monsieur le Maire de Vichy, et à son conseil municipal ;

Merci au conseil général de l’Allier, à nos partenaires notamment, la G.M.F ;

Merci enfin à vous tous, congressistes, amis ascéistes.

La décentralisation et la réorganisation des services de l’État sont au centre des préoccupations des responsables de toutes les ASCEE. Ils se préparent à adapter les ASCEE de demain pour les faire évoluer, au service des adhérents et de l’État.

Les structures sociales de notre administration évoluent pour s’adapter à cette réorganisation. Notre inquiétude majeure consiste à être confortés dans notre rôle et nos missions, avec le maintien des moyens accordés par les services.

Notre deuxième préoccupation est notre positionnement qui, jusqu’à présent est intimement lié à l’avenir de notre administration. Notre adaptation sera probablement conditionnée par l’évolution des administrations de l’État. Cette identité "Équipement" ne sera-t-elle pas frappée d’obsolescence ? Comment cultiver les valeurs de notre mouvement associatif et de cette culture professionnelle fortement ancrée par d’importantes campagnes de communication de notre ministère, ces dernières années ? La protection de notre patrimoine historique, technique et scientifique qui connaît un tel engouement, est d’ailleurs là pour le démontrer.

Comment seront mises à profit dans l’intérêt général de la nation, les réelles compétences que se sont forgés les responsables des ASCEE dans les domaines culturels, sociaux et sportifs ? Certes, cela fait beaucoup de questions. Essentiellement, comment va-t-on continuer ?

Bien sûr, des pistes d’évolution s’offrent à nous. De nouveaux partenariats se dessinent. L’interassociatif revient ! L’interministérialité nous y conduit. Les relations avec les conseils généraux pourront dans quelques départements aboutir à des solutions utiles et satisfaisantes pour tous. L’unité de notre organisation restera à redéfinir malgré tout. L’ampleur de la tâche est immense.

Les ASCEE ont entendu qu’elles continueront à être aidées, alors que concrètement, sur le terrain, quelques secrétaires généraux suppriment les moyens octroyés (prêt de véhicules, frais de déplacement, etc). Les conventions ne sont plus respectées dans quelques DDE. Que pense faire notre administration ?

Je remercie Christine Lochon, Maryse Garandeau, Sylvie Hausermann-Véron, Annie Tortrat, Pierre Viallefont, Christine Calife, Noëlle Mazepas, Liliane Castella et Elizabeth Gounard.

Merci enfin, au comité directeur fédéral et les délégués régionaux et leurs suppléants, et en particulier les hauts fonctionnaires responsables de notre Ministère pour leur aide et leur soutien.

Bonne route à la FNASCEE, aux ASCEE de demain !

Joëlle GAU