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10 -11 septembre 2011 - Quiberon

publié le 5 octobre 2011 (modifié le 11 octobre 2011)

C’est pour la première fois qu’un week end (les 10 et 11 septembre) est concocté entre les 4 sections motos du 44, 49, 85 et 72.

Ce sont 19 motos qui sont au rendez vous à Nantes.
Il est 10 h 30 nous prenons la 4 voies, une Yam nous retrouve à la Roche Bernard, et nous poursuivons jusqu’à notre endroit de pique nique, un petit kiosque à Vannes, où nous rejoint l’italienne venue de la Sarthe.

Un tour du port, une petite ballade sur le marché, et nous reprenons, au complet, la route pour Quiberon, notre destination finale.
Un petit arrêt pour nous habiller d’une façon plus adéquate au climat breton est décidé par l’un des GO (Gentil Organisateur), Sylvain. C’est donc sous une pluie fine que nous reprenons le chemin jusqu’à la Trinité sur Mer, où nous nous posons le temps d’une ballade sur le port, d’ôter nos tenues de pluies et de nous « rafraichir » un peu….

Les 21 motos se dirigent vers la presqu’ile de Quiberon par la côte sauvage, avec un petit arrêt pour profiter du paysage (le petit train, ça suffit !) et aussi pour prendre au passage un nouveau motard Montpelliérain en vacances qui restera avec nous jusqu’au lendemain (Certaines personnes - qui se reconnaitront - l’ont pseudorisé SK…. Bref..).

C’est en fin d’après midi que nous atteignons le camp de vacances à Port Haliguen : répartition des chambres, douches froides, préparation des lits, l’apéro nous attend.
Après le repas (eh, non pas de chansons de Carlos, ni de Michèle, mais bon…. on les aura un jour !!!!), certains finissent la soirée autour du babyfoot, d’autres autour du catalogue de lingerie de Cécile.

Après une nuit bretonne très pluvieuse, les premiers matinaux partent faire un tour pour visiter les alentours (jusqu’à Carnac), les plus lèves tard (genre babyfooteurs) partent rejoindre le cœur de Quiberon.
C’est autour de midi que tout le monde se retrouve autour d’un light apéro et du déjeuner. Il fait beau, il faut lever le camp ! Les bonnes choses ont une fin (dicton pas breton), il faut rentrer. Nous empruntons des petites routes sinueuses comme on les aime, nous atterrissons à Rochefort en Terre, cité historique bien sympa, où nous nous séparerons.

Merci à Sylvain et Loïc pour l’organisation de cette rencontre ! A refaire certainement !

>> Voir aussi les comptes rendus de l’asce 49 et de l’asce 85